Le 9 mars, à l’initative de Mme Bald-Goryo, des pratiquantes de Strasbourg, du Luxembourg et même de Lille sont venues nous rendre visite au dojo.
Pas de séance de kata ce jeudi. Pas de testostérone sur le parquet non plus, la première partie de l’entraînement se fait entre pratiquantes. Mais, histoire que tout le monde en prenne pour son men, la seconde partie de la soirée sera mixte. Une belle idée qui rappelle que les pratiquant.e.s d’autres dojos sont toujours les bienvenu.e.s à l’Haku Un Kan. Une initiative à reconduire.